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Over-caffeinated?

Exhausted?  In constant need of a jolt or caffeine hit?  Feel as though you can’t live without the buzz?

Hey, I get it.  I was there for years.

I began drinking coffee in high school. At the time, I hated the taste but drinking it got me through many all-nighters and countless exams.  At the time, I had no idea what I was getting myself into: caffeine addiction.  According to Anthony William aka the Medical Medium, I began frying my adrenal glands and aging my body prematurely.

When at the age of 29, I was diagnosed with Crohn’s Disease, this habit/addiction only made things worse but I just couldn’t stop. It took me another ten years to finally drop it.

It was tough. I was like a mad junkie that needed her fix.  Every time I walked into a café, the smell of coffee would send me into withdrawal and make me want to renege on my promise and order a cappuccino.   I also craved being high on caffeine to avoid feeling any unprocessed negative emotions/feelings I had buried long ago.

After I finally decided to drop it, I turned to green tea for a few years, thinking it would be better for my body, but honestly, it wasn’t. So I followed my naturopath’s suggestions and began drinking dandelion tea. On special occasions, I will have some Kombucha or an occasional Matcha tea.

Image by Tyler Nix via Unsplash

Anthony William, the Medical Medium, says that caffeine ages us (and according to him, women are more highly affected by it) as this negatively affects our adrenal glands, weakens our liver and creates a host of other symptoms.  Quitting caffeine was one of the most daunting things I’ve ever done. It’s also one of the most rewarding. (Well at least my body thinks so.) I find that my skin looks softer and I sleep better too.

My body can now can tell me when it needs a break and when it needs sleep.

I’ve  re-connected with true myself: my emotions, my level of energy, and my creativity.   I also give myself the chance to relax and rest, when needed.

Quitting coffee also helps me to channel messages that come to me. Since caffeine makes you jittery, and my spirit and my Muse have a hard time making their way through when I’m feeling shaky, this helps my creative process.

If you’re a caffeine junkie like I once was, I invite you to cut back, despite all of those inviting coffee photos on social media, and to tune in to yourself for a while.

See what comes up.

What emotions need to be processed, heard, and tendered to?

Does your body need a break?  A slow walk in the park?  I warm bath?

Your heart doesn’t need to be pumped up.  It needs your attention and care.

Your nervous system deserves to pause and take stock.

Your body thanks you in advance.  I lift my cup of dandelion tea to you and your self-care.

Whenever you need a mental or physical break, take a breather and I’ll meet you there.

image via John Vargues

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Trop caféiné (e) ?

Épuisé (e) ?  Toujours besoin d’un coup de pouce énergétique?  Avez-vous l’impression que vous ne pouvez fonctionner pas sans ce buzz ?

Hé, je vous comprends. J’étais là pendant des années.

J’ai commencé à boire du café à l’école secondaire.  À l’époque, je détestais le goût, mais le boire m’a permis de passer de nombreuses nuits blanches et d’innombrables examens.  Je n’avais aucune idée dans quoi je m’embarquais : une dépendance à la caféine. Selon Anthony William, alias Medical Medium, j’ai commencé à faire du mal mes glandes surrénales et à faire vieillir mon corps prématurément.

Quand à l’âge de 29 ans, je fus diagnostiquée avec la maladie de Crohn, cette habitude/dépendance n’a fait qu’empirer les choses, mais je ne pouvais tout simplement pas m’arrêter. Il m’a fallu encore dix ans pour finalement abandonner cette habitude.

C’était dur. J’étais comme une junkie qui avait besoin de sa dose. Chaque fois que j’entrais dans un café, l’odeur du café me donnait envie de revenir sur ma promesse à moi-même et de commander un cappuccino.  J’avais aussi envie d’être “high” pour éviter de ressentir certaines émotions/sentiments négatifs que j’avais enfouis il y a longtemps.

Après avoir finalement décidé d’abandonner la caféine, je me suis tournée vers le thé vert pendant quelques années, pensant que ce serait mieux pour moi et mon corps, mais honnêtement, ce n’était pas le cas.  J’ai donc suivi les suggestions de ma naturopathe et j’ai commencé à boire des tisanes au pissenlit et à l’ortie.  Et oui, du pissenlit!   Lors d’occasions spéciales, je m’offre du Kombucha ou un thé Matcha.

Image via iStock

Anthony William, le Medical Medium, nous dit que la caféine vieillit (et selon lui, les femmes en sont plus fortement affectées) car cela affecte négativement nos glandes surrénales, affaiblit notre foie et crée une foule d’autres symptômes.

Arrêter la caféine a été l’une des choses les plus difficiles. Ce fut aussi l’une des plus gratifiantes pour mon corps; ma peau est plus douce et je dors mieux aussi.

Mon corps peut maintenant me dire quand il a besoin d’une pause et quand il a besoin de dormir. J’ai renoué avec moi-même : mes émotions, mon niveau d’énergie et ma créativité.

Je me donne aussi la chance de me détendre et de me reposer, au besoin.

Arrêter le café m’aide aussi à canaliser des messages qui me viennent. Étant donné que la caféine nous rend plus nerveux et que mon esprit et ma Muse ont du mal à se frayer un chemin ainsi, le fait de couper la caféine aide mon processus créatif.

Si vous êtes un (e) accro à la caféine comme je l’étais autrefois, je vous invite à réduire, malgré toutes ces photos invitantes qui circulent sur les réseaux sociaux, et à vous connecter à vous.

Voyez ce qui vient. Quelles émotions doivent être entendues ?

Votre corps a-t-il  besoin d’une pause ? D’une promenade lente en nature? D’un bain chaud?  Votre cœur n’a pas besoin d’être pompé. Il a besoin de votre attention et de vos soins.

Votre système nerveux mérite de faire une pause et de faire le point.  Votre corps vous remercie d’avance. Je lève ma tasse de thé au pissenlit à votre santé.  Chaque fois que vous aurez besoin d’une pause mentale ou physique, arrêtez et respirez.

Je serai là, juste à côté, en pensées.